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No. 1

 

Il ne faut pas s'oublier

Le texte qui suit constitue mon essai final dans le cadre du groupe de recherche-création "Récits de voyage artistiques et hypermédiatiques", au printemps 2016.

De chercheur-créateur à a/r/tographe

Je m’étais dit la session dernière que je ne réfléchirais plus, d’ici à la fin de mon doctorat, à ma posture de chercheur-créateur et encore moins à la recherche-création d’un point de vue épistémologique. J’ai appris à mes dépens que lorsque l’on marche en crabe dans l’institution, l’on court le risque, puisque l’on évolue de biais, de ne pas apercevoir la vague qui va nous renverser...

Qu'est-ce qui t'arrête?

J’ai poursuivi l’écriture de ma création cette semaine. Dans mes ((trop) nombreux) moments de tergiversation, j’entendais les voix de François, de Rachel et de Jean-François me répéter en chœur :

            — Qu’est-ce qui t’arrête?

Question de bons sens?

Dans son chapitre de livre «Knowing your mind», Ken Robinson écrit ceci:

Source de l'image: Wikipedia

«We do not see the world as it is but as our particular human senses present it to us ... We have at least nine sens: sight, taste, touch, hearing, smell, balance, orientation, pain and temperature» (p. 115)

L'âme du monde

Au début de la session, durant un court débat sur la religion, j'ai parlé d'un livre dont le titre ne me revenait pas. Il s'agit de L'Âme du monde  écrit par Frédéric Lenoir. Ce qui est drôle, c'est qu'il est dans le métro montréalais en ce moment. Il y a une annonce pour son dernier livre et je n'avais pas fait le lien avant maintenant. On voit son visage un peu partout dans les wagons accompagné de son livre sur le bonheur.

Pain brioché, boules au beurre d'érable

Je pense avoir sous-estimé... le pain. 

Plus qu'un simple accompagnement, je découvre le pain de Kaplan: une entité qui traverse la langue, le goût et la nation.

Le nomade et le sédentaire

 
Les derniers jours m’ont beaucoup fait réfléchir à la notion de déplacement et d’immobilité, qui caractérisent à leur façon l’esprit du voyage. La tempête démesurée qui a assailli l’Outaouais mardi et la condition d’hivernèrent obligée qui s’en est suivie m’a plongé dans une torpeur que j’avais oubliée, l’hiver.
 

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